"Le fou n'est l'homme qui a perdu la raison. Le fou est celui qui a tout perdu, excepté la raison." Gilbert Keith Chesterton
Cette définition me semble convenir parfaitement à Emmanuel Macron. Le peu de charité qu'il me reste m'interdis de tirer sur l'ambulance, je m'abstiendrais donc d'en écrire davantage sur le pompier pyromane présidentiel.
Nombre de ceux qui ont bien œuvré à nous mettre dans cette panade nous alertent sur les risques graves en cas de vote pour les "extrêmes". Les moralistes et autres diseurs de bonne conscience s'agrègent à ce discours avec des trémolos dans la voix et des larmes aux yeux.
Braves électeurs, il s'agit de bien voter. D'un coté vous avez la peste brune, le fascisme et le racisme qui frappe aux portes du pouvoir. De l'autre nous avons le retour des staliniens, des goulags et de la faillite financière du pays. Des extrêmes qui nous conduisent, ni plus ni moins, qu'à la guerre civile. Le ton est donné. Ne reste que le camps de la raison, celui qui nous plonge depuis des années dans le délabrement et la paupérisation.
Je suis un français moyen en tout. Je n'ai pas de culture politique, ma seule boussole aujourd'hui est de voter contre Macron. Le soir du deuxième tour, s'il s'agit de voter entre la peste et le choléra je ne connais pas encore ma décision. Mon geste sera suspendu à ce que diront ou proposeront les uns et les autres.
Moi-même.