Quelques jours de silence et le monde redevient ce qu’il est : indifférent.
Certains disent que lorsqu’on s’est dépouillé de tout il ne reste rien.
Probable ; je ne suis jamais allé jusque là.
Mon sentiment est qu’il ne reste qu’un nucleus, un centre de gravité qu’on appelle vie, qui agrège les univers et fait mouvoir les galaxies.
L’émerveillement à cette prodigieuse liberté nait là.