Lorsque la pensée de Dieu me vient de façon claire et simple, je suis gagné par une félicité légère et paisible.
Mon cœur s’ouvre et s’épanouit telle une rose au soleil de sa présence.
Une onde incommensurable élève le réel en proportion inimaginable.
L’Absolu occupe tout, le temps et l’espace se dissolvent dans sa permanence.
Seule demeure la conscience consciente d'elle-même.
État de grâce furtif qui emplit l'âme d'espérance.