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Journal d’un Métaphysicien de passage.

Journal d’un Métaphysicien de passage.

Déambulations, soliloques, billevesées et autres histoires à dormir debout.


Ce que nous vivons, ce n'est pas une crise... C'est une escroquerie !

Publié par konrad sur 9 Décembre 2013, 09:02am

Catégories : #Divers et variés

45 Votes

Posons-nous les questions qui fâchent…

Quelle part de la dette incombe
aux usuriers ? Et qui contrôle notre or ?

Rassurez-moi : ce ne sont pas les mêmes ?!

L’usure est la principale responsable des souffrances (emploi, famille, éducation, santé,…) et les usuriers les 1ers esclavagistes de nos vies. De tout temps, elle a été considérée comme le premier mal des civilisations.

Tout leader, tout citoyen qui prétend vouloir faire de la politique sans s’être plongé dans le concept de l’usure (création monétaire, endettement, …), gagnerait à préférer faire du jardinage…

.

Rendons à Rothschild, la part de la dette qui lui revient : faîtes les comptes…

C’est sous la présidence de l’ex-Directeur de la banque Rothschild, Georges Pompidou, que la loi du 3 janvier 1973 dite loi « Pompidou-Giscard-Mesmer« (73-7) ou encore appelée « loi Rothschild », fût votée. Elle est directement responsable du service de la dette (plus de 45 milliards € par an pour les seuls intérêts) et conséquemment de cette situation proche du chaos. Michel Rocard lui même, déclarait(*) fin décembre 2012 sur Europe1 que sans cette loi notre dette serait à un niveau « bénin » (« 16 ou 17 % du PIB »).

(*)"La réforme de la Banque de France de 1973 a interdit que celle-ci prête à l’État à taux zéro. L’État est donc allé emprunter avec intérêt sur les marchés privés. Si nous en étions restés au système précédant, qui permettait, répétons-le, à la Banque de France de prêter à l’État à taux zéro, notre dette serait de 16 ou 17 % du PIB, soit bénigne." (Michel Rocard – décembre 2012 Europe1)

Les statuts actuels de la Banque de France (sous tutelle de la BCE depuis 1997) confortent l’obligation de se soumettre à l’usure des banksters :

  • Art. L. 141-3. Statuts actuels de la BDF - "Il est interdit à la Banque de France d’autoriser des découverts ou d’accorder tout autre type de crédit au Trésor public ou à tout autre organisme ou entreprise publics." (banque-de-france.fr)
  • A rapprocher de la loi de 1973 (loi 73-7, art.25) : "le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France"
  • L’équivalent de la loi de 1973 au niveau de l’Europe est l‘article 123 du Traité de Lisbonne (ratifié contre le gré des Français) : " « Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, (…), d’accorder des découverts ou tout autre type de crédits aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres."

Une simple question : si on emprunte de l’argent qu’ils créent (à partir de rien), mais qu’ils nous demandent ensuite de rembourser AVEC des intérêts que ni eux, ni nous, n’avons créé : Dans ce cas, comment rembourser, sans devoir réemprunter à nouveau ? … Il est grand temps que la fête s’arrête, vous ne croyez pas ?

En attendant, les français consacrent plus de la moitié de l’année pour alimenter le système fiscal qui graisse inutilement la patte aux usuriers
(46% prélèvements obligatoires + 20% TVA sur les dépenses des ménages)

Les impôts et cotisations sociales (hors TVA) , France depuis 1970

Souriez : les 5 derniers mois vous sont offerts !

"Pire qu’esclave est l’esclave qui s’ignore". Aristote

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