Sur la scène du théâtre de la comédie humaine je ne fais que passer...
Des plats pour que les convives sans graisse se rassasient a(é)videment.
Les uns montent sur ma tête pour paraitre plus grands, les autres m’agrippent pour avoir place au festin.
J’ai tissé mon costume de toutes les illusions.
La texture de ma voie est le silence de la joie.
Le monde est parfait.